Après avoir remporté 200 millions d’euros, le grand gagnant a décidé de donner presque l’intégralité de sa cagnotte pour protéger la planète. Il a décidé de créer sa fondation nommée Anyama. Cette dernière sera dédiée à la protection de l’environnement.
En décembre 2020, “Guy” a reçu un chèque de 200 millions d’euros, une somme record qui a depuis été dépassé par une gagnante qui a remporté 220 millions d’euros à Tahiti.
Une fondation pour protéger l’environnement
Qui n’a jamais rêvé de remporté le gros lot en jouant à l’Euromillions ? Ce joueur l’a fait, il est reparti avec 200 millions d’euros. Mais le deuxième plus grand gagnant de France à cette loterie avait une autre idée en tête que de dépenser son argent dans des fêtes et des villas de rêve. Il a décidé de consacrer l’essentiel de sa fortune à une fondation. Créée en avril 2021, Anyama, s’engage à soutenir et à agir en faveur de la nature.
Le philanthrope a indiqué au Parisien : « J’ai transmis la majeure partie de mon gain et donnerai progressivement la quasi-totalité. ». Un acte de grande générosité surtout après le dernier rapport du GIEC, publié le 4 avril 2022, qui alerte de nouveau quant à l’urgence de réduire le CO2 afin de limiter le réchauffement climatique.
Que fera la fondation Anyama ?
Alors que le nom de sa fondation fait référence à une ville de Côte d’Ivoire, “Guy” a déclaré : « Au cours de ma vie, j’ai été le témoin, en Côte d’Ivoire, du passage incessant de camions chargés d’arbres coupés dans les forêts du Burkina Faso, anciennement la Haute Volta. Ce ballet de camions m’a beaucoup marqué, indigné ». Anyama agira pour protéger les forêts qui hébergent 80% de la biodiversité terrestre. Elle travaillera également à préserver la biodiversité et enfin elle apportera un soutien aux aidants.
Ce défenseur de l’environnement souhaite garder l’anonymat. Tout ce qui compte pour lui est que sa fondation agissent pour sauver la planète. « De mon point de vue, la priorité aujourd’hui est de sauver la planète ou plutôt de faire en sorte que les humains, le vivant, puissent continuer à être les hôtes de notre belle Terre. Il faut agir, c’est une urgence absolue. Si rien n’est fait dans ce domaine, toutes les autres actions seront vaines. Nous n’existerons plus, car la planète deviendrait invivable ».